Venezuela
lundi 11 août 2008
Samedi 19 Juillet -
Par Corne de Brume le lundi 11 août 2008, 23:56
Vendredi 18 Juillet - Enfin!
Par Corne de Brume le lundi 11 août 2008, 23:55
Jeudi 17 Juillet - encore Marguarita!!
Par Corne de Brume le lundi 11 août 2008, 23:53
Mardi 15 Juillet - Marguarita
Par Corne de Brume le lundi 11 août 2008, 23:52
Captain monte et démonte, il installe les alarmes de surveillances de Milo One... Ca sonne et carillonne dans tout le mouillage! Ici le nombre de Francais est incroyable! Le Francais est voyageur! Mais que vois je à l' horizon... après 3 jours à le scruter... ils sont là! ils arrivent; Nous retrouvons nos Amis !!! Thorgal et Pajè, Youpi!
Mercredi 16 Juillet - toujours Marguarita!
Par Corne de Brume le lundi 11 août 2008, 23:52
Nous suivons de près la météo qui s' acharne sur les Antilles et la mer des Caraïbes, avec 4 systèmes dépressionnaires; la grosse Bertha,catégorie Ouragan voguant plus au Nord, 2 grosses ondes tropicales, quelque part devant nous et la dernière en date qui nous guette du coin de l' oeil et risque de venir nous chauffer les oreilles, catégorie ... inconnue! En attendant les bateaux s' accumulent autour de nous ... dont le Black Pearl à nos coté... peut être un peu trop à coté d' ailleurs! Pour l' anecdote ils abandonnent le navire vers 16h00 et nous ne les reverrons que vers 20h00, ... à la rame... pb de câble apparemment... Captain fulmine depuis 3h00, une renverse de vent nous à salement rapproché! Bref, pas la peine d' insister... le Black Pearl va remouiller et tout va rentrer dans l' ordre... (ca c' est dans la théorie!) car les vents et ses mystère, les chaînes et les ancres qui traînent au fond... le Black Pearl remonte... il tire un coup à droite et un coup à gauche... trois p' tit tours ... et s' en va pas! il remonte ... notre chaîne avec ... tout emmêlé! et le commandant rouge comme son drapeau... il est raide bourré! pas de chance! slowly ! slowly! ... 'qu' il dit', en arrière toute, prêt à nous harponner!!! bref ce n' est qu' après de vaines tentatives, qu' il concevra se mettre à couple, sa femme toute dévouée nous lancera la drisse du drapeau encore accrochée au mat, en guise d' amarre,... un peu plus c' était son string! et vu l' absence totale de vent et le peu de risque encouru, la situation est plutôt risible! Elke avait raison: Rouge, Blanc, Rouge (couleur du drapeau Autrichien) signifie également en langage Hauturier: Navire à capacité de manoeuvre restreinte! voir très restreinte!
Vendredi 11 Juillet 2008 - Respire!!!
Par Corne de Brume le lundi 11 août 2008, 23:51
Dans l' absolu... les vacances, c' est ce que l' on aurait pu espérer... si seulement... Réveille tendresse, Oscar improvise une chanson au volant de son bolide Winnie l' Ourson, le soleil brille et la nuit fut réparatrice, le sourire aux lèvres nous écoutons notre petit oiseau qui ne manque pas comme tous les matins de venir nous chatouiller les doigts de pieds et nous faire un gros câlin. Notre moulin à parole remonte seul dans le carré, dans le silence qui s' installe... comme pour mettre en valeur le 'CLACK' de détonation qui suit...! Quelque chose c' est cassé, 3 secondes de silence et des gémissements de douleur, la vision d' horreur quand je déboule sur notre tout petit... du sang partout, Oscar est en pleine convulsion une arme auto défense à la main, les yeux révulsés, la bouche ouverte il peine à respirer!!! RESPIRE OSCAR RESPIRE!!!! RESPIRE!!!!!!!!!!! OUVRE LES YEUX OSCAR!!! OUVRE LES! quelque chose se répand m' empêchant à mon tour de prendre mon souffle et atteint douloureusement les voies respiratoires! mais qu' a t' il fait?... et qu' y a t' il dans cette arme? électricité? Gaz? pourquoi du sang???? RESPIRE!!!!! Yvan relit la notice de l' arme, le sang n' est autre qu' un gel rouge contenu dans une capsule, qui une fois brisée libère un gaz paralysant! nous supportons Oscar, totalement impuissant devant la situation, ne sachant que faire! Les brûlures qui suivront seront terribles, nocifs par inhalation, irritant (et le terme est faible) pour les voies respiratoires et la peau, nous sommes tous contaminés, Oscar le premier! L'eau qui apaise sur le moment décuple la douleur aussitôt après... les brûlures sont insoutenable et comment soulager Oscar!!!? c'est horrible, nous sommes totalement désarmés face à la situation! peu à peu Oscar retrouve un semblant de souffle, doucement, mais il est prit de violent tremblement! Il est 8h00 du mat' et un ballet incohérent se profile sur Milo au levé du soleil, entre cris, larmes douches froides sur les marches arrière et implorations; nos corps s' embrase, les mains le cou, le ventre les genoux, les bras semblent à vifs et rien n' y fait! ni le vent, l'air, l'eau, la biafine.... rien! Attendre, seul remède: le temps, attendre dans la douleur que l' heure tourne! ... 3 longues heures en l' occurrence viendront à bout de notre martyre. Dans un lieu désert qui aurait du être magique lentement nous retrouvons nos esprits et nos corps redeviennent plus légés... les brûlures s' apaisent, seul quelque membres persistent: les mains notamment. 11h00 nous sommes éprouvés, fatigués de nouveau! c'est sur, nous redoutions une attaque... mais pas de l'intérieur! merci Oscar notre petit pirate! 11h00 donc et qui a dit que l'on s' embêtait en bateau??? pour suivre on vous propose une fouille en règle par la guardia costeria... nous sommes désabusés... Oscar s' endort sur mes bras, vidé... 14h00 on reprend une activité normale après une matinée des plus mouvementée, tout le monde à la sieste!!! 16h00 balade sur la plage bien mérité, 1er bain de mer... enfin! Oscar ne gardera aucune séquelle, il pète la forme, comme si de rien! les enfants sont en mousse!!!
lundi 14 juillet 2008
Marguarita
Par Corne de Brume le lundi 14 juillet 2008, 13:36
Check in pour Milo-One au Vénézuela.
Pédro Rodriguez dans sa berline marron, type "Tontons flingueurs" nous ouvre les portes de son"taxi". il sera notre guide pour la visite de la ville de Marguarita, station balnéaire des Venezueliens.
cette ville est étonnante de paradoxe. Des buildings délabrés,des places arborées, une multitude de magasins, muchos muchos... la pauvreté... et les supers supermarchés incroyablement achalandés. la vie de la rue, les gens sympathiques, ça grouille, ca fourmille.
Don Pedro nous ramène au bateau! hasta luego!!
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